JEAN-LOUIS HOUCHARD

 

SOUCH’ART 1 (photogrammes)

 

 

Photogrammes de l’inqualifiable, de l’indéfinissable, de l’innommable, de l’insaisissable...

S’extraire de tout enracinement (arborescence) en dé-couvrant le macroscopique et microscopique métamorphisme des souches.

Jean-Louis HOUCHARD

 

 

HOUCHARD’S SOUCH’.

Ces êtres — corps-rampant-rapaces-vocaux — qui n’ont aucune finalité d’êtres, c’est-à-dire n’ont pas à assumer une charge éros-thanatos — mais l’être déchargé chargé cependant d’être, sommé par le pris sur le vif (ou l’invivable, l’invisible).

Ces veinules donc, outrées de sang surréel, irradient vers le crâne de dieu le taureau au centuple sa lame, sa dague.

Electric souch’s s’accouplent et s’entrouvrent au béantement du sel pelliculaire.

Houchard’s Souch’s, immobiles et animées vers le haut le ciel la soif gisant au feu alchimique, sentinelles du souffle houchent et bouchent au cortex circumvolé.

Souch’art mouch’ polytué par la vision que l’on en a, le débouchement sur le rien, l’accouchement du sol abstrait qui, figé en de multiples minéraux , nous donne à pulser en fœtus fatals.

Sur les souches de l’art les mouches, le lard, qui foudroient le goudron, le massif périodique de la roussette, l’or mouche et te tarde.

Jean-Pierre ESPIL

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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