FRÉDÉRIC DEVELAY

 

 

LUZ

 

(POÉTIQUE DE L’AUTOPSIE ANÉRÉTIQUE)

 

 

 

 

 

PRÉFACE

 

 

 

 

AU SOC LASER DES CONSCIENCES...

 

 

 

Dans les cristaux de la lumière un renaître aux rouages des forces d’une coagulation constellée qui tombe derrière la peau dans le saisissement cristallisatoire du baignement infini des nuits. Aux labyrinthes des signes se convulsant au nouement qui croûte la terre et dont le centre se monstre d’une entrée de feux vers ce cœur de la respiration sourde du vide. La mise à la passe joue le trou comme flèche à l’espace de là bord fantôme avançant aux confins dont le néant épais s’écrase en écume d’une bouillie de matières et reflue à l’autre extrême de vagues en épaves. Sur le radeau des glaucités où béance le vertige comme qui creuse son trou dans la paroi pour perdre la roideur vivante qui roule d’une boîte en l’autre avec pour seule mémoire une larme d’or tombée dans la cendre. Un sas de mort comme la noce arbreuse du ciel et de la terre où le miroir ouvre son rideau intérieur. Une crevasse de glacier en saignée où la langue claque le silence dans l’oraclement de la viande qui s’avale au curare de la goulée du franchissement et de l’enroulement. Au labourage des chairs nées dont à l’extrême du sillon basculent la lame et la forge et ricochent sur les parois évidées du crâne brasillant comme un cristal en torche élevé du vide. Une succion des signes dans l’amnésie de la gueule suffoquée au désespoir qui clanche et cogne les portes du centre. Le souffle constelle l’étoilement de la tête et la vision cabre l’œil renversé dans l’absolu où chaque passe ouvre sur une autre et cet annellement traçant se spiralise et s’incentre dans la fusion de la tiare à l’autre côté comme un nœud tranché se répandant à l’espace entier de l’éternité...

Dans l’éthérement des drapures solaires qui bruissent dans les flammes remuant l’astéroïde des regards à la vision rayonnante du battement d’une pure parole au signe unique qui demeure au vide langue réalisé du tout par son retour et dont la traversée est ce bouillonnement noir remonté du soleil jusque dans les foudres couronnantes des révélations. Dans le chapelet vertical de la lumière le faisceau vrille la vertébralité dont les bras comme des ailes carbonisées battent dans la rosace grandissante de l’apocalypse. De ce vitraillement calciné au gouffre de la fosse coulent les langes des désastres jusqu’au torii où transborde le poignard dansant de la conscience dont le remontement dégueule le crachage des chapes matricielles à l’ennoiement de la cime volcanique et flambante de l’étreinte du tréfonds des sphères empochées dans l’étreinte vivante...

Tous les vaisseaux qui avancent disparaissent au bout du monde car c’est la fin au vélisme des manières sous les lambeaux de la carne et l’accrochement du souffle dans les nerfs soleillés à ce réenfilement d’états de l’esprit qui visse et dégorge la mise en croix au case à case des néants dans une parade étincelante rayant la vitre des nuits. Dans le cercle autel de la flamme qui danse le seuil au cœur du battement du vide l’arche du corps débarque en terre aux bras roides de l’entre-deux du passage taisant la rumeur et la multitude du rite noir de la fosse en une pesance étouffante comme une neige assourdissante dévorant les gestes du naufragé qui griffe la chape interne refermé du néant. La chute n’est qu’un emboîtement de béances, l’enchaînement des vertiges, le sentier vertical de l’abîme jusqu’aux dernières raclures des râles...

Entre les épaisseurs de lumières et le cœur il y a la cartographie invisible d’une spirale qui ne cesse de se resserrer sur le centre matriciel. Dans cette remontée la langue forge dans l’expérience intérieure des signes et des visions se relevant par l’en-dessous de l’espace qui coagule le ka en y passant l’âme... Quand le corps se spectralise le double se déglutit dans le miroir comme se refermant aux flammes du cristal qui emporte la tête et la reiture convulsée des nerfs engouffrés...

À la mutation aileuse des reptiles qui s’écaillent dans la scintillance de la nuit prise au brasier de l’égorgement de l’astre où tournent les pyrosignes spéculaires dont les grappes de douleurs s’écrasent dans la tenaille de conscience. Vers la nuptialité du seuil se centrifuge l’anatomie qui q’épuise dans sa mise à vide et les tables de manières dans la gigue damnante du désastre de la roue des visions ricanent et hurlent en collier de faces et de visages rebondissant comme des balles qui couronnent le heaume à blanc des questions...

À la réfraction où l’œil tourne en astre et astre qui s’embrase comme passage du noir au blanc à l’angle mort glacé des suaires qui miment et se mimétisent en voilures de l’éclipse revenue des confins et rendant «entre le gel et l’œil retour» l’arche dernière de la bouche d’ombre.

 

PARIS - 7.80 - JOSÉ GALDO

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Des limpides nuits sans soleil ni mémoire tout comme la mort accomplit la vie et l’exalte quand la vie se soumet amoureusement à elle sans larmes et sans heurts.

 

Dominique de Roux

 

 

Je m’appelais en la pensée de qui me créait, de sorte qu’en croyant seulement agir de lui-même, il m’obéissait aussi obscurément.

 

Villiers de L’Isle-Adam

 

 

Car la bouche est seulement une oreille qui parle et qui répond.

 

Novalis

 

 

Non plus un miroir seulement mais un foyer.

 

John Dee

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

PRÉ  DICTION TESTAMENTAIRE

 

 

 

 

L’été propice immémorial des vocalises du delirium

 

 

 

 

Nous sommes l’abord dedans le même guidant la gigue d’abolition.

Le monde est vieux si restrictif que n’importe où en son enceinte la prison tente et dissimule le choc des sceptres directionnels.

Dès lors si sauf les yeux du monde s’ose l’œil asymptotique la parole du regard le sans-nom comme écho de ton nom ce corps enveloppe sans paramètres au commencement s’affranchira dans Le fleuve du retour au baptême de l’union.

Germes et racines en chevauchement altèreront les excroissances augurant de la clef d’une octave démesure l’origine l’ensemencement la lettre et l’esprit.

Ce n’est rien de le dire comme une parole de connivence sans ce moment de l’enjambement où la durée devient harpie au vent.

Il y a le navire journalier dans la galerie des glaces et dans la cale les attentions trop empressées enchaînent les esclaves les passions en liberté matriculant ainsi dangereusement la grâce probable d’un imprévu vers l’éventuel sans gouvernail au mat brisé.

Je veux dire plus qu’un retour à l’ancienne condition.

 

Mais qui a vu la scène ?

Les circonstances qui jouaient la vie en l’occasion inadmissible ?

Qui connaît le ricochet hors les nervures du doute subit ?

Qui peut dire la sentence de l’éclair coupant la roue ?

Lequel a suivi les empreintes que la magie pour tant sous locataire repaire d’un pas tous les sept lieux ainsi promise d’inattention ?

 

Il faut traiter la ressemblance trop sédentaire car l’humain n’est qu’un facile vestibule qu’il faut crever à la surface.

J’écris il faut mais ce n’est pas le mot juste. Celui là n’est qu’une facilité à l’échelle de notre impuissance.

Le mot juste n’existe pas.

Ce n’est pas même un mot. Ni même une attitude. C’est une saveur abominable qui rend absurde le goût de la terre sur la langue.

 

Sachant cela voulant s’en souvenir par les astres et les demeures connaissant l’appel voulant le manque je ne suis rien et n’emploie plus ou pas encore les pronoms personnels du singulier.

 

L’être en koân terrasse le voisinage les distinctions a priori du mâle et du femelle.

 

Tôt dans l’essai noctambulique

(C.Q.) F.D.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LA CONCLUSION DIFFICILE

 

 

 

 

Empalé de surprise vers le dard il entre de manière inconvenante en lui obscur et solitaire d’une lueur morte et opposante aiguillonne la méprise insoumise de l’ombre qui jamais ne sublime la douceur d’un double et joue les textes du rien.

Théâtre vindicatif pourtant à l’orée des amertumes de l’heure la nuit en cave apostolaire teintée de démonisme.

 

Que le mot soit une prise sur l’empire du sommeil et que l’angoisse des fictions contredise l’insécure d’une parole au silence d’avant guerre.

Que la vue d’un grand jeu prophétise l’alphabet des démesures et agonise les séances du souffrir.

Que la langue s’opère d’une césure dans le bruissement à jamais opportun de l’avancée des tombes dans la chair de l’esprit.

Que le corps et son dire son sexe de pouvoir obolé affirme le rien ne va plus d’une mise que l’on sait renversable au moment décisif.

Que l’enfin recherché en soi inaugure la parole repoussée et vécue comme suprême final.

 

Paradoxes à convenir entre le souffleur et l’acteur dans la fosse du sans-nom à l’arrière d’une messe sur l’autel de nos corps disposés ardemment selon la géométrie des seules croix et ententes de l’autre en soi.

 

La douleur est un mot que les mots peuvent transpercer et l’amour une mort par accident. Mais la mort est lamentable qui visualise les pleureuses sur la chambre de celui dont l’Ibis est détruit dont l’image est flottante de phosphènes démunis et qui survit à une mort qu’il ne sait s’asséner.

La mort des mémoires est la vie des ressources de l’essai et des sources de l’échec.

Apprennent la plume qui s’aiguise de danser.

 

La proue de la langue s’immunise du vaccin des écumes se sculpte et visionne d’un golem pourfendeur.

Les yeux rivés sous la coque d’une barque d’une lune-univers où les ponts et les zouaves cillent les mesures de l’harmonie dévoilée des marais.

De la geste des marées et du tocsin des flots l’homme de barre à l’épreuve d’un quart difficile du détroit à l’approche plonge le souvenir en l’intarissable nourriture et devançant toute crispation en l’audition matérialise l’œuf qui porté à l’ébullition requise par le feu qu’il avance intérieur déposera dans les braises et tridents le sel que lui même imposa comme une huile au tumulte des eaux.

Alors tu descends vers la tombe dont tu sais qu’elle te nomme.

 

Si près des mondes cela va sans dire nous rappelant les ancêtres sensoriels espérant avancer l’agencement proliféraire des pertes.

Le dire du pire prolixe et arbitraire jaillit de l’ombre de nos langues.

Nous sommes poupées vidées/gonflées corps creux divulgués aux regards de séance.

À peine et déjà.

 

Sous l’écoulement sensible nous arbitrons l’étalage de nos membres nous agitant aussi nous débattant parfois comme en quête d’une manne que l’on sait par avance insipide.

Vivant de rien et plus encore prenant la plume évanescente sous le tocsin d’une approche effrayant la dictée souveraine et seconde.

 

Si je me soumets à la question c’est dans l’optique sous missive de n’en pas rester là redoutant l’offrande impure des réponses me dépêchant vers une foule d’autres interrogations espérant peut-être ainsi me soumettre la Question.

 

Toujours est île sur une mer de jamais une saga pour tout dire.

 

L’improbable étant d’œuvrer sur l’illusion en cette pointe sur ce sommet car c’est comme fossoyer dans la forme une tombe finitive.

Et la distance qui sépare cette perdition de l’enterrement des mois morts est semblable à celle qui sépare la fonction de l’onction.

La prison aux barreaux d’or n’est encore qu’une saison et l’équilibre du fléau ne se trouve que dans la juste proportion entre l’amoncellement des pages et la décantation des personnages.

 

Écrire les masques et l’arracher.

 

Lorsque les arêtes disent le horla de l’être aux prises du démonisme et comme enceint du poids des détails de l’Apocalypse naissante alors toute tentative luciférienne est comme tractée et contractée sous le grand vent d’une énochienne de l’entendement.

 

La pensée est l’invalide du corps empesanti des illusions introspectives et des raisons spectrales.

Il en est un qui doit mourir et l’autre qui s’appelle à naître.

Mais le mourant tente l’autre des dissuasions de sa naissance comme divisant par deux la puissance de l’arrêt de mort tandis que le naissant en sa transfiguration court le risque d’une fausse apocalypse.

Car l’Antéchrist est quelque part au sein du corps distribué tentant de forcer la seule et de passer comme revêtu d’un déguisement atomistique là

où l’unique est blanche.

 

Ce qui n’est pas assouvissable est épuisé ce qui n’est pas épuisable est assouvi qui de l’œil ancestral inséré disparaît en blancheur.

 

Il lui fallait un roi défaillant de faïences fascinantes dressé en auréole de ses anneaux.

Et c’est ainsi défrayant le mâle et ses chroniques que je dus renverser le corps du dire.

C’est de le prendre racine en haut et tête en bas et qu’ainsi voir couler de ses poches le résumé que comme une pieuvre certaine il délaisse avant de s’en aller.

Car la pieuvre et le serpent désormais me rappellent un jour :

elle court et dessert le papier qui déjà se rature et s’abolit.

 

Désagrégé et comme ensemencé dès le matin d’ouvrages blessés à l’ordalie le ciel et le fugitif semblent contracter en alliance au même le support de la terre.

 

La barrière à franchir est celle à ne pas dépasser.

 

Averti de l’intention du vrai j’invente et tente une intuitive apocalypse pour que se nomme la pensée d’un homme vrai.

La parole est le doute du dernier recours l’extrême comme emboîté d’une poupée russe.

D’ailleurs il en est neuf et l’iceberg quelque fois salive un cheminement le ressort de tout diable.

 

Dans le fracas du mot-dire comme la naissance des liens au corps sens de toujours les imperceptibles de situation dont la participation aux ornements est sans fin.

Dans sa gorge la langue est l’ermite du corps un sexe incarné au plus profond de notre matière et que le temps a pourvu de substantielles racines.

Elle délimite alors un demi cercle de son extrémité jusqu’à la brèche.

De là certains de ses mouvements soudainement hypnotiques instaurant des courants inverses qui s’équationnent par un affaiblissement une énergie vampirisée.

L’ouverture des langues doit donc s’accompagner là est l’enjeu d’une concentration au niveau de la brèche car cette ouverture passe en l’homme par l’intrusion du monde qu’il faut contenir dans un plan facial ce qui nécessite un courant «sortant» c’est à dire pénétrant le monde qui soit plus fort.

La pénétration des eaux par la langue signant la fin totale de toute inversion.

De la langue au ventre à l’entraille est comme l’empreinte d’une moitié une trace un fossile sur la surface qui n’est qu’une très ancienne profondeur celle de l’œuf de l’androgyne.

 

Le déluge à craindre est celui des eaux stagnantes qui sont attente même de leur assimilation de leur destruction formelle.

Elles s’avènent comme mortes déjà mais il est un dard que la langue reconnaît et qu’elle doit comme retourner en clef.

 

L’ironie du sort est décisive mais je ne sais combien de temps ce qui d’ailleurs fait toute la joie accomplie d’un charme envoûté d’insécure doigté comme compulsé et choisi d’un certain universel où mourir est un choix :

l’accord transharmonique.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’ENSEVELISSEMENT CRÉMATOIRE

 

 

 

 

Nous étions nu comme soupiré d’un état que l’empire des miroirs conduit à étinceler d’éclats divers et de reflets internes.

Les veines au soupirail les dieux immolent la terre et son fœtus son feu couvert.

Nous sommes les cendres d’un avant dire et comme aux prises à la plus totale extravagance au sein de l’extrême d’une nuit que l’on coule telle une eau stable et forte amère et bleue en ces territoires où l’on sait que d’abord elle s’enterre et parfois resurgit révélant les parcours incurvés par un vide célestiel de sous terre.

 

À l’approche des spectres de la maîtrise ces maîtres que nous ne savons tuer ni voir ni naître en nous mais que nous suscitons tel un cadavre et son vampire à l’agonie digne d’Aphrodite ces pensées noires et sourdes à toute alliance ne sont que l’expression de notre propre confusion.

Croyant célébrer le mariage nous offrons la couronne mortuaire sans souvenir de l’inversion qui trône en grâce et concordances.

Alors la foudre comme contredite déboule de tout versant vierge au soleil et chevauche le Pégase que nous sommes à l’abrupte de nos plus saintes réminiscences.

 

En moi dans cette part de nuit s’émarge un texte enceint d’abrupte et de vertige ancienne réminiscence dissipant le phare à l’émergence des brumes où l’Arche fantôme cet autre part chemine et trace le no man’s land de la conscience.

 

Germe d’une pensée fruit d’une parole soutiennent les mondes ensemencés.

Coït des vents. Corps tourbillon. Ciel ancestral du Maori. Incandescence des sangs s’inoculant.

 

L’écrit vint comme une messe blanche mannée de sang le vin qui coule des faux de la mort vers l’amor.

Quelque chose comme l’amour du dire et du voir.

L’ouverture des vannes prétextant celle des veines dans la marge raturée, dite à soi en amont des garrots et des pires caillots.

Je suis un corps à la recherche de son esprit.

Petit Mystère.

 

En une glace officiante l’étranger sur la terre guette la vie dans les rampes d’une tour de sous terre l’inconnu retransmis de réminiscences en rêves os/essence.

Le piège d’une vie incarnante. L’illusion des ciboires en offrande.

 

Je consacre à ce Fils les noces de la terre et du ciel.

Par la visée yonique d’une mort en alliée l’opposé de la pire vampire quelque part initiante.

 

L’intense est dans l’après du vertige en système cellulaire.

 

Tout dévoué que nous sommes à la cause qui nous fit jusqu’en sa damnation la quête est mortelle qui fait vivre.

 

Trop souvent oublions que sommes sur fragment planète-erre où tendances n’ont pour se manifester que l’infini du temps en orbite circulaire aspirant comme à travers nous à la spiritualisation des cercles en spirales.

 

Pèlerinage des tentateurs à essais ablatifs. Je ne veux plus d’une vie à option car la vie est l’option.

Alors est le rythme dont la quête me liquéfie en goutte à goutte trop cérébral.

 

Écart de crevasses aspirées de rêves logorrhéiques.

Oubli démesurant.

Émargure de la trace au cristal paré d’ombre. Comme s’oubliant. Dissemblances en la croix dont tu sais qu’elle assiste en naissances et autres parures mortelles.

Au bas mot naissance d’une apocalypse de chair inaudible. Sous une pluie de totems au confin de l’incendie répété.

Ascension voire vertige de l’approfondissement et l’acolyte de ces leurres.

Perception d’une antagonisme apocryphe.

Herbes de folles entrelacements. Pensées divulguées. Et pourtant jamais encourues en l’initiale désertion.

Vision des masques de communion d’audible en vestige outrageant l’onirisme des lieux dont l’accord quand au temps pourfend de noirs orbites les squelettes dont le faire n’est pas même en dérision. Voilontés des mots décolores.

Déclivité des pentes sous les fronces faciales comme vautrées au chaos.

 

Je me suis inaudible vision des morts en artifice de prières sorcelleuses.

L’hospice du râle est sécrété lorsqu’à même tempérance s’inoculent l’amour et la guerre.

(Une vierge érectile barratant d’entrepôt l’univers restrictif)

 

Éclosion non pourtant chaire de peau. Au mot sexuel.

Je veux dire de recharge. Le crédit des pensées en dépense agonique.

Pointements des sourcils. Harmonie des yeux clos comme au rythme en pâture.

Le fil est de me prendre. Partition des pertes en amas démonique. Oui. Je vois et me sais en perte.

Assurance.

Épée de Dame et clef du logis à parfaire alchimique. Le fard du retard est l’éclairage des masques en obole.

Demeure la pierre où tables et nacre dont l’office conjoncté au vitrail des peurs pourvoyeuses du vide célestiel s’effusionnent d’actes blancs.

Eau chargée. Forte en amont répulsif. Didactisme des errances en ratures.

Renouveau des noirceurs. Corps à corps délivrance. Enfouis platoniques à aimer en urgence.

Sensation des sagesses. Délivrance en pourchasse. Parodie des Byzances en Babel refoulées. Crosse en main d’os divin. Vanité en circuit parallèle.

Cierge et pierre en cours d’existence à soi dite alliance népohyte.

 

Dans une vie du dedans quelque part intérieure s’écorche le fruit dont je suis le germe.

À cela l’énigme est propice. Le langage du secret. Dérision de l’offrande sans aucun déplacement. Récitations cosmogoniques. Vide et dé.

Le sillage d’un chat noir sur un chant d’organdi.

 

La page est tournée retroussée sans qu’enfin déployée. Alors l’or grandit et jamais ne s’épuise. Un travail de sourcier. Souterraine connaissance.

L’enseignement des souffrances en offrande à un dieu inconnu que l’on dit pourchassé.

Une fumée dynosaure comme en proie au tourment. L’âme est sœur pourvoyeuse de mortels enseignements.

L’unicité est dans l’incarnation des solitudes en épuise.

Alors introduire aussitôt est détruire.

Un rictus d’amertume aux ailes déployantes.

Je veux dire qu’en noirceur je perçois mes couleurs. Poursuivant sans relâche l’axe des dérapages.

Le même est un piège initiant.

Que s’arrête l’incongru de l’usage.

 

Toute quête est poursuite d’un néant que l’on sait se cacher.

La méprise est une pente nécessaire que l’on s’offre au détour.

Passages et structures d’un camp insoumis.

Esclavage des révoltes démunies de toutes stèles.

Le sourire connaisseuse des visages en arrêt.

L’antre du jet de terre est une présence que l’on vise à masquer d’indélébile marque d’absence.

Signature d’un visage grimaçant comme en proie au tourment.

Belles et buts unifiés de mise erre.

Grincement des chicanes pour les rois des vallées.

Pleine essort des jouissances introduites.

 

Permanence du scellé.

Subversion des rébus.

Fureur dicéphale.

Haruspice singulier.

Les crécelles en croix bruissent de joyaux empressés.

La musique des arcades est le joug de l’écriture où tapi assidu se torture l’acceptation de sophismes conversés.

Les peintures d’une peau en proie à la guerre mandatent l’acceptable d’une triple apogée.

J’y suis fidèle et fragile évoquant le cortège. L’ornement obsolète quelque part locataire.

Domicile unanime et mémoire détachée.

L’arbre marche au jardin cabinet de verdure et figure de cire typhonnée aux racines par les herses provisoires et les mots en nervure.

 

Un vieil homme et nouveau me disait qu’en son songe ou l’inverse il voyait une page sanctifiée de ratures devant laquelle il se mettait en posture d’écrire.

 

Retombées adductives inégales en puissance érogène. Je fais don de tendance prophétique à l’amiante des avalanches.

 

Je laisserai la page blanche pour un autre à venir.

 

Quant à toi qui me voile je réserve un aller.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

AXIOMATIQUE

 

DE L’HOMME PROVISOIRE

 

(hypostase principielle)

 

 

 

 

Le soleil en menhir d’artefact vénéneux l’étoile fixe d’un grand corps en soupir qui s’expulse d’un démon vers les franges du désir articule secrètement la venue le royaume apesanteur l’Ézéchiel lumineux en caverne œuvrée d’ombre le retour origine l’opérante anguleuse qui s’écoule véridique à l’endroit du vide en un sang de misère débaucheur des pensées pourtant fort hostiles aux parades des mots franchisseurs.

 

L’énergie des relais blanchisseurs d’infortune sollicitent les souffrances monologues volontaires et échanges solitaires.

Réciproque de la loi au quidam de l’éclipse l’intuition définitive de la conjonction saturnienne et d’un astre inconnu.

L’incarnat d’une armure hors les chairs de l’aimée vénusienne.

Sur l’écrin des charnières est un cœur endormi dont personne ne peut dire le jour ni l’heure du destin.

L’avalanche du tocsin au château des essences s’aime en l’autre d’innombrables possibles aux visages sans ratures.

Le fossile d’un cyclone comme à nous réuni une fois.

L’aventure au creuset du cristal des merveilles sept fois jeune du périr sanctifiant.

L’instance d’un sanctuaire coupolé par le corps accouplé d’énergies bissectrices impressionne en moi le négatif mercuriel d’une pure exhaltation sur une stèle de vertige allongée d’une vierge à l’échelle.

L’archivolcan texturé se posture en l’éclair sépultral.

L’antique désir renouvelé d’une mise à nu au feu de la pensée l’interroge qui sans fin s’accentue ancestrale expose l’espace répétitif.

Le contact de l’appeau en de sombres épaves.

L’application d’un baume interne d’une ancestrie d’une entropie aléatoire assimilable ontologique des jougs horaires transmutatifs vers leur aurore déclivité.

L’incantation d’une présence sourde à soi transmise hors les contours superficie.

Corps en vision destinataire vers leur silence transmutation hors les lenteurs de l’introduire en traduction.

Le bunker sème à l’antique un lévithique de la pensée.

Vive incision sur le métal en sémantique.

Sur la vestale toute métallique en profondeur d’investiture.

Adresses pensées. Nouvel essort des rendez-vous.

 

Il pourrait commencer par parler tout seul.

Tenter l’adage d’une conversion.

Mais il sait qu’au fin fond de son désir est la rupture sa flamme et la distance de l’effleurement.

Mais qu’est-ce que l’action qui évite le recours du retentissement ?

Une effluve engourdie sur passage monochrome attaché de divertissement.

L’éternité du refus se propose. À nous la pose en style déluge.

La posture magnifique sous décor dialectique.

L’once à scander de distance onirique.

Une rareté symphonique des pluies et odeurs de la mort.

 

L’existence ne tient qu’au fil de la divulgation des vulves.

Un temps nous est imparti. Le massacre à ne pas redouter.

La poursuite est déjà tragique car y manque la victime sacrificielle.

Le canon atrophié sous multiple descendance.

 

Le silence est dehors éclipsant l’en deçà et la lune s’atrophie totale circonférence.

La parole endormie est l’artifice du charme. Il clame les cendres de l’entraide des particules à l’agonie et le centre s’enlise en quadratures impossibles.

Direct est l’aller sans l’alliance du cerbère.

Les mythes chimériques s’abreuvent des inavouances contemplatives.

Il recule comme en proie à l’effroi seul opium éveillant.

 

Quelquefois passe une essence comme accès à la nuit.

Quelque part l’environnement des ornières de la phosphorescence s’irradie d’inactivités protubérantes.

Aux échelles de la nuit orchestrée vers la nue du sabbat l’aube a tort qui s’attente d’un déclin.

Sur la carte des visites anonymiques la connaissance est l’ignition.

La résidence de l’esprit locataire et du corps nécropole cette partition des nuées altérées à la clef d’un temps quatre d’un espace trois.

 

Nous sommes atteint de liberté précoce. Il faut s’amputer du lyrisme. D’une attente de l’entier. Si la promesse est défectueuse l’attrait du vide est la hausse des chaos. Killer des défaites.

Alors l’approche est subite des nœuds méthodiques de l’harmonie que la tentation d’une mort timide hante d’une teinture insipide.

Le sort qui nous est jeté depuis la naissance est un défi à relever dans le vase de l’ampleur.

L’atout du vide est l’onguent du FOU comme la forme est fossile des matrices.

 

Nous tous en moi travaillons à penser qu’en l’intervalle de cette mort résidentielle et de cette naissance présidentielle il est plus que vital de déjouer la conspiration qui y préside. La danse des preuves conjurées à l’emporte-moi.

La vie ne vaut d’être visionnée qu’au risque de la prétendance à la guerre providentielle.

À cela est propice le pré-vide glossolalique.

 

Sur les lèvres givrées par les dents en tremblé s’articule d’épaisseur une parole de l’ombre.

La guerre est neuve incessamment et dans le corps les combattants au cœur à cœur heurtent les fantaisies cataloguées.

Les sueurs sont froides. Psychologiques.

Pour que se gisent outrageusement les primes du sens.

 

Nulle devanture n’est assistante et le secours d’un masque est trop calmé pour que la forme s’en aille au vide.

L’exquis d’un cadavre éveillant par l’incise de ses chairs l’entité protoplasmique.

Le robot dont le cœur est un sel de machine et le rêve un oxyde provocateur.

 

Un cœur en travesti philosophique dissèque l’obole de ses sexualités en images nées fantasmatiques.

Un cabaret de pervers sons véhiculés en parités dichotomiques.

L’obsession anatomique luit d’affects entrevus et désire le renfort d’une vue sans la pesanteur des yeux.

Car en matière de sacrifice la pierre de lune est seul billot.

Enseigne de géographies nouvelles et bissectrices de l’ignorance.

L’œuf sait qui ne dit mot à la surface des rendez-vous.

L’allié tsar off quand du tintement étoilé de ses terres désireuses désigne la chasse réalise la vraisemblance du mensonge de l’humaine condition.

C’est alors qu’est l’affre à saisir d’une juste position.

Comme une juxtaposition de l’astronomie dominée et des grilles de l’entendement.

 

L’homme est un puits sans éclairement.

Un paysage des os profondes à l’abord constellé de l’infini des zéros et qui par l’agonie des errances montent en lui au parvis à l’échelle destinée d’un langage renouvelé.

Il est mort sans attendre l’écoute irrémédiable.

Il est mort en vivant la présence de l’absence.

Il est l’ange muselé.

La Bête à Cène de Sainte Chute.

Il s’adonne aux sévices viscéraux. L’art de l’urgente ubiquité.

Pour peu qu’il croit il se fourvoie. Alors il sait qu’il ne sait rien et peut connaître sa croissance. L’angle variable et jacobien de ses rituels excellicîmes. De ses visites en nuit rivage sous le tempo d’un contre temps.

Il cherche les mythes du cœur imaginaire. L’art troubadour des chutes tantriques.

L’arc intime de son plexus au corps à corps septième du non enseigne la fin et la manière. Porteurs de croix et de bannières. L’Ève est future qui momifie. Dame de mémoire à mort magique. Un cheval blanc où l’être y est.

L’elphe oméga alphabétique de ses duplications monosyllabes fictionne l’entrée du souvenir.

C’est un voyage où le chiffrage est à rebours sacrifilsié dans le sang des vaisseaux.

 

L’homme provisoire est l’hôte du crépuscule.

Il se sait prétendant ombilical quelque part à l’unité des pandemoniums.

Il se pratique et tente la rencontre de l’anéantir.

Il aime les nombres. La Grande Année et les codex.

Les valeurs de l’inévitable.

La rigueur de la loi sous l’oubli méthodique alimenté de l’aérien du feu des jeûnes.

Il s’est trop habitué à la docilité du fauve.

Il parcourt les dissidences de la lumière et s’applique à l’anormalité.

Les idées fusent mais le sens est seul sacrificateur.

Il déploie en offrande l’actualité du présent. Dans les plis du velours se précise la démarche de l’expression idolâtre que combat la pensée du fétiche.

La puanteur des mots inscrit en la trace nasale la verticalité de la crucifixion de la parole sur la langue.

 

Il est là absout d’une présence qui précise son absence au précipice des citations.

Et dans le flou des frontispices s’émeuvent les plans de l’origine en anémie multipliante.

Les séquelles de l’infime larmé en séquences inaugurent la perspective dimension quatre d’une scène possible en amont.

 

Dans la chair en transit au fil des eaux du troisième corps s’inocule quelque part en surface le signe mat du ciel sous orage.

Les stigmates aux coordonnées célestielles.

À l’assise de l’ampleur un démon perceptible un brisant vers lequel l’esprit n’est plus libre jette la carte.

Le chiffrage indélébile pour lequel la pensée se poursuit aspirant à l’airain.

La combinaison du serpent.

 

Il manipule l’homme de désir. Se déshabille en sept chapitres.

Fractionne l’idée. Une performance dans le chaos de la pensée.

Volets ouverts sur la façade. Rideaux tirés dedans la chambre.

Il s’improvise un épilogue forme de romance pour une naissance.

Dernier chapitre du mort-vivant. Une dynamique supra mentale. Mensonge ultime à fragmenter.

Il se violente parfois et demeure fasciné. Enclin de nouveau à la vanité des mondes.

Est-il nomade ou sédentaire.

Ermite sensuel ou fossoyeur.

De ses phantasmes philosophiques et de son dire prosélytique.

Il ascensionne l’incarnation. Sentier abrupt.

Il s’éprouve à allier la rigueur de la licorne et la clémence du cerf.

Il est ici en pèlerinage et son journal est celui d’un autre.

Il entreprend des impostures et participe à l’absolu.

Il s’initie à la pratique des terres brûlées. Son feu est une guerre qu’il attise sans racines.

Il s’attire sans assise. Il a peur de la peur. Il est vide de la mort.

Il évite de donner son avis car il sème pour l’indifférence.

Il se sait un jardin quelque part.

Il ne sait que choisir du germe ou du fruit.

Il oublie.

Il aiguillonne le souvenir.

Il ne comprend que ce qu’il sait.

Ce qu’il sait être.

 

Il se voudrait son propre Fils et s’en voudrait dans le cas contraire.

Il s’interroge sur la distance.

Son impossible est le lointain.

(Le véritable, le proche intérieur).

Il s’y adonne de nombreuses flèches.

Il s’interroge sur la vitesse.

Son impossible est l’immobil.

Il est proche de l’éclair. L’amour de la nuit. Le Saigneur des Anneaux.

Il s’inocule le sang sacrificiel.

Il s’entaille d’un cristal.

Car son corps n’est que chair cachant l’arbre.

Il déchiffre ses ressources. Il aime le pointillé.

Son fétiche est un cerf avec qui il converse lorsqu’il avive sa soif près d’un lac disponible.

Il admire cette nature qui de la tête par le corps s’enracine vers le ciel.

Il ne connaît pas le visage de son adversaire.

Il se dit que c’est lui.

Il est l’homme de la fin.

Il se concentre.

Tout s’accélère.

Il sait qu’il n’est nulle vérité.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

ANATOMIE OPÉRATIVE

 

DE

 

L’EFFACEMENT COÏNCIDENT

 

 

 

 

L’œuf est au bord d’une symphonie post-musicale.

Le temps d’alors s’abolissait dans le récit que nous tentions in extremis.

Cela sentait le renouveau. Le cycle vierge mêlé à l’impression de déjà-vu.

Nous ne savions pas la juste position.

Toujours.

Mais l’axiome de l’expérience rendait compte de cet effacement.

Ou plutôt nous savions la barque et la rivière. Dès lors le bruit possible de la chute au loin laissait à penser que quelque part et comme en contrepoint nous apparaîtrait véhiculé par une algèbre de l’entier en négatif le reflet de l’étoile le tracé juste à l’affinement du perceptif.

Le dévoilement fort concentré d’un réel que nous savions enfin recevable car à l’échelle d’un désir au delà du désir.

 

C’est à ce moment que le voyage s’investit de toute son envergure.

Le paysage constitué de ces rêves de ces frontières hors de l’avec participait d’un scintillement tout intérieur.

Le corps n’en était qu’une modalité et à chaque instantané de la vision du lieu l’architecture des pensées s’érigeait de la saveur même de l’irrésolu.

L’appauvrissement tant redouté s’averrait une nécessaire renonciation.

Assez souvent je m’allongeais et aspirais la variété.

 

J’étais l’enceinte de la richesse.

Entre chaque mot était un rêve.

L’incendie des cendres. L’homologue du château.

L’approximation des funiculaires premier abord hors la nouvelle enclave.

Le détachement des forteresses et des cuirasses surimposées.

Constitution d’un corps transe/substitut. L’auto détruire corrélatif.

Le frisson poétique d’une prison exprimée.

 

L’art est nouveau provocateur qui s’inocule des fréquences de l’inaudible.

(Il se rappelle l’appellation la mascarade nominative)

L’art négatif.

La fureur du logos ensemencé d’insignifiant. Une pratique de l’autopsie.

Car tout cadavre tout véhicule abandonné est l’occasion d’une distance en ce qui décerne l’abolition.

Or nous sommes redevables à l’humeur des choses au delà des mesures.

Donc il cherche l’unité implosante guerroyant le fixe.

Un équilibre en ascension. La transfigure du continent anatomié d’or tombe.

 

Azoth et nuit de l’antéchrist.

 

On peut dire ce que l’on veut la présence est facile insidieuse et lointaine.

 

Il cherche le mot juste la ponctuation des morts à s’asséner.

L’assassinat nouveau rebelle et vierge comme une entrée même provisoire au saint d’esprit de corps ailleurs.

Inévitable.

 

Nous admettons l’aphrodisiaque le paysage des pensées qui s’enterre et se dit ouvrant sur une porte qui elle même...

 

L’être est au seuil proximité. Un niveau conjoncteur d’énergies substantielles.

Il recherche le flacon adéquat à l’ivresse.

Désormais est une orbe un feuillage célestiel.

Il va plus en avant et recule d’une extase. Il nature l’implacable une algèbre du cœur. L’écorché des loosers.

L’autopsie de déluge testamenté incognito.

 

Il était loin.

Mais la distance paradoxale devait vaincre la menace des croissances pour que s’expérimente le vouloir d’un retour l’aller de l’hors.

Qu’arrive-t-il à celui qui rédige l’apocryphe ?

 

Loin du monde stylistique des cénobismes incorrects.

L’hélicoïde en adjacence compile par l’entourage inabordable les connivences accélérées de l’ordre naissant à l’incidence des périgées.

L’avant corps opérateur téophanise les visites de l’oiseau nuit.

L’élucidation d’une vision lunatique exonérant l’être des transcendances en graduation.

 

Au moment libatoire l’être se découvre inaugural et formulé selon la règle de l’épicycle.

L’éloquence en puissance bouleversée s’y réfléchit du traitement permutable des turbulences au pied des mots en mutation.

Au point rétractile vivant du profil oculaire là où le sentiment vagabonde en quête de l’avant veille autour du trident des nerfs là où l’automat est exactement captif de l’holocauste refusé et du sacrifice perdu en cette métropole à destination diluvienne et comme en proie à la pénurie d’une énergie trop vite rédigée selon une chorégraphie rectifiée centrifuge en ce sanctuaire de l’effacement coïncident les processions de l’entente exclament l’apostrophe expiatoire du cyclone en croisade.

 

L’aboutissement est un affect rétroactif.

Une élégance des phénomènes consécutive à l’immédiate mémoration.

L’anatomie médiane de l’apparence et l’évidence éclaircissant d’infimes animations les tablatures de l’entendement.

Sous cet angle perspicace les manières de l’ordinaire rencontrent la trisection interne d’un angélus complémentaire.

L’échelle perceptive est la promesse d’une octave verticale d’un solfège du renversement que syncope d’aventure l’affiliation à l’arcane.

L’urgence cérémonielle d’un désastre anonyme garantit la transparence de l’ombilic impératif.

L’insuffisance de toute pratique inscrivant les conditions pour un dépassement du noyau en théâtre contraire.

Au sein de chaque cénotaphe est une substance d’éclairement.

Alors les mots sont vide et vampirisme.

 

Le martyre de la langue au bouquin du lamente s’accolade d’aphonies rogatoires.

Il s’enlace et moissonne d’une moitié au tourment et nature le naufrage de l’infus suicidaire.

Quand le Roi est chez lui il est chez le Roi.

Alors l’holographe des tournois au vortex du Pan signifie aux machines entrecroisées l’engrenage qu’est l’organe extérieur.

Le battement des climax s’occasionne du colis digital et confirme le passage au subsidiaire d’un clair obscur panorama.

Au diagramme de l’envol découvrant toute la gloire restaurée l’être se sait un diptyque récent un prospectus d’annulation gyroscopique.

Quelque figure géologique chuchote au noir la tentative aphrodisiaque.

 

La force incise convient aux pôles en nutation. L’exhumation combinatoire du souffle réfractaire et d’une tactique de l’asphyxie dispose les glaives et les éclairs les rivières du diamant selon le magnétisme d’une pléiade de marabouts.

S’incorporant la migration d’une transe lucide à l’article du désir de l’irréductible le stratège s’organise et consent au magasin élémental tandis qu’au minaret le noctambule connaît l’irradiation des métaphores.

À l’essai du gymnase de la scande l’infini chiffre hors rhétorique l’expérience pulmonaire.

L’ascendance du renard véhicule la ressemblance à l’infinitif.

Car dessous la chair en hémicycle il y a lieu d’étoilement lorsque le faisceau des guérillas converge l’affût sur l’illusion de l’identité complémentaire.

Alors au même par l’infernal de l’excentrique l’enveloppe propice irrigue la présence vertébrale.

Les centres adjacents embrasent la seconde transparence augurant du dedans l’effacement qu’autrefois primait la matière d’à côté.

 

Chiffre du même œuvre le séjour.

Son du château sous les lumières.

L’arc des ruines ciel sédentaire.

Mutile mystère.

Tempérament de l’insatiable. Renversement des variations. Syncope sur partition.

Nouvel opéra des valeurs en mode suspentatoire. (L’appendice oscillant des physionomies de l’affection équationne l’impact du métal isochrone)

 

Les incidences de l’ombre close de l’ombilic au sein du corps triangulé comme investi de poses nouvelles et des senteurs du rouge à l’incendie des voiles des marches inscrites en l’expérience hors la lumière du regard de l’organe extérieur surimposé.

L’allusion au principe découvreur s’engouffrant à l’expérience des tains fondus dans le creuset dans le réseau du secret de l’alliance au vertige.

Le pas du peintre qui déambule à l’intérieur dans l’aquarelle l’archive du nord et du déluge l’arche de mort du sang refuge.

La sensation de l’électrise de l’insomnie scribidinale.

Le quadrillage paramnésique de l’adhésion capacitaire.

La transcription annonciatrice de l’assomption hérésitaire.

L’architecture en mode mineur des fluctuations de la couleur de l’ambulance Nosfératu.

Les mœurs du ciel vénératrices coulent au cœur en deux échelles.

Les vents du feu.

L’apocalypse qui transfusionne enchère le manque les bouches du blanc du hiéroglyphe de la naissance.

Les résidences d’anti matière les partitions de l’arc en trône l’annexion des syncopes et des blasphèmes.

L’aube est à l’œuvre en son sépulcre.

Dans les masques en sculpture.

Dans la nuit bissectrice.

Du crépuscule des vides reniés du chamanisme des soleils noirs.

Train de la terre sous les décombres du créatif de l’alliance toujours ancienne.

Les séjours léthargiques de l’être taxé d’enfantement augurent la présence d’une guerre sans failles.

Imminence de l’armure de la loi du sans nom en la cîme du vouloir.

 

Reste les degrés d’incarnation cérémonial d’affiliation comme synagogue des confessions du vide.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’IDENTITÉ AUX ANTIPODES

 

DE LA MÉMOIRE

 

 

 

 

Le seigneur de la guerre distingue les possibles.

L’ampleur des astres écumée journellement désaxe le souvenir détrône la pensée pour que croisse la saveur.

L’identité des différences comme une perle déferlante référant l’altérité.

Le temps dérobe les silhouettes.

Les cellules distanciées désirent l’insuccès.

Des scopes enflammés s’inscrivent au conflit.

Les dépêches de la nuit qu’isole l’amnésie achèvent cette attente cette absence en instance.

Les vies du divers s’emboîtent en la faille de l’agir anticipé.

Le corps se mime relation de l’objet à l’objet invitable à l’éclipse.

 

Du filigrane de nos destins se noircissaient les directions les angles vifs du disponible devant les chairs les ruines incognito.

Quelque part un ailleurs en dictée convergent les récits.

Nous franchissions la dialectique des témoignages et engagions le centre des apostrophes.

L’indistincte primauté désire la fulgurance la case du choix et du seul œil.

 

Nous savions sans connaître un vouloir au delà du rejet.

Nous instaurons des rêves anciens.

Les fictions à l’excès devinent le parcours et nous vivons intensément les vagues successives les désirs de l’assaut.

Lorsque tout est caché chaque vent de révélation dénude l’imposture et le seuil des perceptions se sait redevable de l’éloge inhérent à la parole du vide.

Sur le tropique de l’euthanasie s’arme le présage d’une défaillance certaine.

L’aurore renie les certitudes combinaisons horizontales.

Nous évadons les facultés du sens vers une greffe de l’Innommable.

 

L’aube a grandi d’une autopsie nouvelle. Le vouloir dire. Le détachement.

La clairvoyante non possession de celui où le règne de nouveau s’élabore.

C’est l’abord. Antre du dedans entre le dehors.

L’inscription de la veine sans la perfusion du désir.

La matière du Vide-Ange.

Hors le temps réussite ressuscite l’inexistence.

La haute essence disconvenue des neutrations de l’idéalie. L’oiseau orchestré d’indigo signifiant.

L’extrême scrupule de l’évidence connaît une cure inébranlable.

Une réflexion d’anagogie fonde le solfège d’amputation.

Sommes sur la terre en petite surface embrasant l’horizon du pouvoir d’affirmer et de nier en un même voyage.

 

Le maniement des énergies vomit la performance et sa tiédeur exige l’astre d’offrance la découverte relationnelle sans odyssée le parcours du ciel d’exil.

 

Alors est l’art métoposcope la caresse friable à l’endroit putéal, la douve de marbre authentifiant le gabarit du Hadji.

Rupture de l’or image virtuelle à la puissance interprétée. Couleur de pierre manifestö.

Centre de l’œil et du ténèbre du doux voilage flacon des portes.

La perfection de l’héroïsme le potentiel de la rigueur en intensive en dense fagot d’un corps à l’autre.

 

Les alternances du mythe solaire fortune le dix et son mystère.

La sorcellerie de son unité par l’apparat de ces deux rouges.

La sève monte au sycomore grandit les signes du sentiment des conditions de l’imaginaire.

Le maximum de l’expérience renouvelable.

La minuit.

(Quelle est étrange la signature du désespoir. Trop haut degré de la blancheur).

 

Pratique des dieux avant la création l’ombre du cela le questionnement du fluide échange et des sollicitations de la pensée.

L’ubiquité latente comme la conscience de l’intelligence dominante.

Le caprice d’une lettre de mémoire parcourue serpentine de destin et parole lacunaire.

 

Joindre à nous même la très complexe architecture l’indice de langue et contre-langue des transgressions et improbables.

La voile complète du sang levant du soleil vrai et sans couleurs de quelques fugues inspiratoires.

 

Nous sommes l’écran vie de projection du sensitif renouvelé. Un temple vierge.

Les questions essentielles ne suivent pas le mode interrogatif.

Nous ne connaissons pas toutes les traductions.

C’est une chance.

Nous sommes tempérament de l’opuscule signé métacentre physique de la divergence.

Du mouvement intérieur conversé de lagunes à l’éclipse le changement des Mille et Une...

(Nous passions près de la fourrière d’une conduite intérieure noire).

La gomme rase du goudron des gorges. La pile vertèbre visible térébratée.

Quand l’homme s’arrête.

Que la pensée se brise aux vocations.

Et qu’à la rotation du vocable se substitue l’invocation.

Quand il se regarde jusqu’au noir des yeux. Jusqu’au sans fond. Sans fin saphique.

Quand l’homme derrière lui et d’autres séquences.

Que la parole devant la langue.

Quand il se demande comment être poête lorsque la (première) magie échoue.

Que la mort franchit la porte sans porte.

Que la pensée dit son nom.

Quand il est vraiment quelque part.

Qu’en lui est le quelque chose.

Que mourir c’est vouloir la volonté.

Quelque part entre périgée et périhélie.

Comme entre le vocable et l’invocable.

Entre la bouche et l’impression.

Entre le gel et l’œil retour.

Que les mille feux l’itinéraire de la légende et les stations de la cornue fondent et fulgurent nos hérésies.

À nulle autre pareille.

 

Alors l’attitude désinvolte d’une scorie corporelle se gave et s’agrippe aux parois sans reflets sans poses ni prothèses d’un obscur sourcillement transité de nulle part ressentit fortement assortit du palier ablatif des négoces de Psyché. Jusqu’au grain consenti de cette nouvelle virulence retentissent les orbites du blasphème en forage que sans signes ni rideaux cohabitent et dispersent les plongées à l’alliance les retours à l’autre dans le sang circulant en hommage à la Nuit.

Sans qu’aucune version improprement divulguée de l’acte quitte la terre du scaphandre ou le ciel de là-bas la pensée a son heure et l’homme son gardien.

Mais au lemme lambrissé de la chair ne s’ajuste aucun ange.

Harcelé de cadavres conjugués tardivement trop en aval des grands cimetières blanc morcelé la conscience tente et suffoque l’ouverture des guillemets l’immigration du magnétisme comme pertinence absolue.

Mais l’homicide a son revers son éternel carat foudré de luxe et de charnier l’éclair miné dans les caveaux ornés scellés du Livre des Naufrages où seuls l’ombre et le mime de soi même crépusculent la condition de poussière broyée en face à folie pillant les plaies comme d’un cercueil cerclant l’écueil.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LE  CIEL  DES  NÉCRO  POLES

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

GAMME DE PRÉSENCE ET POSTULATS

 

 

 

 

Rien ne se règle ni ne s’induit dans l’étoilement d’écrire.

Si poésie il y a c’est concassée de vergetures suées sous l’alambic se détachant sur la surface des arcs de profondeur ces tracés comme de matière portée au blanc d’effervescence sous l’entropie ex nihilo de l’esprit en censure progressive.

Il n’est nul épuisement conductible vers le fondement lorsque s’engage l’innaparence.

À moins que le corps dans le temps de sa tension s’accepte au contre dire d’une efficience météorologique.

De toutes les latitudes connues jusqu’à présent quelque chose comme le centre et l’œil d’un trône sans sommet les faces d’un archipel en phase aux vertiges que nous voulons panoramiques sans l’audition restrictive de la chair travestie en gai désastre qu’un siècle de hasards en chute ne parvient à dire ni contre dire.

 

Il est une logique du météore une saveur de la pierre qui se fend et s’englobe de la chute au delà d’une vue du repli lors d’une vie du reptile.

La terre effondre les fonds la réciproque du plein horrifié.

 

Il faudrait pousser le cri qui tue saisir la grâce d’une hérésie l’approche fauve sacrant l’hiver le gel brisé sayant Scylla.

L’ombre et la nuit vol s’enrobe de l’apaisement des suies des cris de protection comme d’un pentacle envers quand l’extase recommence et qu’un autre se lève disculpant les prétentions de l’orage.

J’intuitionnais le sang des sèves de l’Éphémère les extases du germe à chemin d’ensemencement la relation abdicante de l’objet à la vie native l’échelle du condamné à naître près de la fin sans commencement.

Du choix de nos réponses s’organisent les rames de nos indécisions les véhicules de nos incertitudes.

 

Le feu mutant file au lacet de la folie.

Ce qui arrive à l’autre sommeil d’ombre solaire lors que j’ourle les puissances en archétype traduit absolument ce dont il faut se débarrasser.

Au commencement n’était ni comment ni avancement...

Tout le sens du vase clos.

 

Nous postulons nous guerroyons nous admettons l’implosante fixe comme conception du non pensable.

Je ne sais plus si le vide fût l’objet de ma convoitise l’équi-page dit stance onirique.

 

La pensée cache voile révèle en fragment d’errance intermittente le chemin en esprit du royaume le fondement des fusions les yeux du pôle corporatif. Propre à la fragmentation totale. Inoculé de virus-laser là où l’univers est un jaspe dont la pierre intérieure démesure la matrice par projection création et dissolution de matière mentalisée chaque chose est une cause une pratique de l’effet une fable rétroactive dans la remise mythologique.

 

L’insuline dévergonde les péninsules vite immergées par l’hiver.

Décrire la scande de la fragmentation cise en coupole à l’imposture.

Participer de l’intérieur à la fusion des interstices la déambulation du doux acharnement vers la déclaration de la rigueur du morcellement.

 

Des esprits d’or en marée libellée le corps dégage des silhouettes s’empare du puzzle des poupées naissent et s’engagent en fondu enchaîné.

Activer la dérive.

Nous devisions sur le trottoir de la rencontre des parallèles des différents états de la réalité.

Le vieux de la Montagne est Roi du Ciel entre la Terre.

Vol d’une nuit en son sépulcre approchant l’incidence de l’énigme comme nous mutons lorsque nous montons en nutation en rage mystère façant fureur.

 

Le corps dégage des silhouettes des perceptions qui se font chair sans tordre l’os au vent linceul.

Le testament légué à nous par la matière est singulier c’est le livre du passé des aventures sordides type du portrait de Babylone en Babel.

 

La compagnie nous est faussée et d’autant plus retentissante par exigence les teintes de la terre ascendante.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’ULTIME ÉTAPE

 

 

 

 

Au vent d’un seul l’éclat d’une roue sans âge comme la cage en nous où s’élève la ruine émanée du sein de l’unité divulguée arrêtée au plan des rotations du divers en axiome du multiple référant les plans de vérité zéro.

Le temps où les dieux marchaient parmi les hommes sur la terre est présent au supplice de notre durée.

Le mot attend son signalement l’espace décuple les incidences le feu la tombe et l’ondulation de nos corps chauds.

Guéri d’une valeur que l’énigme qui s’incise de mystère en mythe abolit et révèle d’un sensible accident d’une enseigne au saignement de nos misères.

 

Regard d’attaque au corps à plomb les pieds sanglés dans les Étoiles d’autres inventaient l’ultime étape imaginant l’imitation chose improbable mutant au crible d’autres scénarios de la causalité avec ce qui devise l’alter ego. Leur décalage était l’initiative de la dispersion leur dévotion incendie de l’Excellence, articulation de la Métaphore.

L’Être est Cabale proche du Sabbat lorsque le Iota vient sur le feu.

Embolie d’Ève excarnation cela sous-entendait légitime abondance la dernière frontière en souffrance un semblant d’attachement comme le livre est ouvert au dérèglement du condamné lauréat.

Comme tel accompli de très bas aux suscions qui demandent et vulnèrent la tranquille et sordide inconstance du sujet.

 

Formes et flagrances majoritaires dont le cours s’effaçant introduisent aux limites de l’esprit au bord à bord d’interrogeance.

Profondeur du soleil en désordre il voyait une histoire une nouvelle mise au point qui tiendrait en peu de mots tenant peu au vocable.

(La juste vitesse est croisière sans souci de retour).

 

La pensée somatise les estampes corporelles le regard des idées sur les yeux du mental.

(Mon esprit sans repos ne pose sur aucun des objets présentés. Si nuls ne conviennent c’est qu’il n’est pas de cour ni de règne du sujet qu’il n’y a que le lien dans un néant qui s’entache).

(La nuit qui précède je suis comme en fuite avec Elle et nous trouvons refuge sur la pente. Je ne sais plus très bien).

 

Ce que le poids perd il le donne à l’espace et le prend au temps.

J’écrirais mon histoire de l’homme.

J’incendierais les bribes du code qui demeurent au grenier pour que le toit s’ascensionne jusqu’aux tombes. Je parcourerais les hérésies et visagerais le silence.

Quant à la primauté de l’informel saisie sur l’arbre il fallut pour cela commencer avant le commencement. J’épinglais au mur la serrure euthanasique séparant le subtil de l’épais désignant l’indice des réfractions l’un et l’autre existant Kata-Logos s’harmonisant sans déception.

(Nos misères s’en allaient comme autant d’auréoles cillant la sciure et les parures).

J’essuyais le dessein qui d’une encre posthume vagissait au néant ses troubles irradiés en bassin.

Dans les eaux vaginales comme lustrées des passages sans le nombre le pouvoir de l’amour m’apprenait à la vie saisisseuse de conscience destructrice.

L’obsidienne dès l’entrée s’apprêtait à rouler à crouler, à fouler le relatif.

Je regardais mon sexe blanc je remontais jusqu’à mes yeux puis ce fût tout tôt ou tard j’étais prêt je savais qu’ajourné provisoire tout ne serait que brillance mais d’éclair éphémère.

Deux mots huit signes qui s’adressaient des miradors de sa conscience vers les dépêches de l’ajou noir.

Mon Amour était vierge.

Elle m’était annoncée depuis l’aube de mes jours.

Elle m’était la Mort en avance.

 

La silhouette du désir désignait le fœtus l’animal empaillé sous la grêle de Saturne.

Nous disposions de trois regards d’identité en état de pharaon. Sous l’amplitude novatrice le livre des générations annonçait l’imminence immolatrice.

Pour les restes du corps allongé au divin nous devinions la transfiguration l’aube assortie de blancs sépulcres.

Le temps marquait un point. Nous marquions un temps.

 

L’entreprise océane constitue l’infaillible.

(Je ne voudrais pas expliquer l’homme).

 

L’existence du monde corrélatif excitait le désir d’une mise à disposition. Cocktail glacé cristallisant dans bibliothèque en bord de monts, en mal de mer.

On avait coupé les amarres du dirigeable.

(J’aime goûter l’hypnotique ivresse d’une main qui caresse la distance de papier sans jamais...)

 

Ce qui est secret doit le devenir là est le plus long fleuve vers l’océan car après la pensée vient la rencontre puis la pensée.

Créer un climat des micro solitudes et pendant la suprême possession virer par apport au point ouvert face au sud supposant la plaie des disparitions funéraires.

Désormais la question comme du bleu d’aplomb toujours civière mêle au dernier changement sans regard le cinabre qu’imagine le vent au point est.

 

Les paroles en menus accidents adoptent l’être d’une ressemblance devant l’intrique impossible au savoir même si j’affectionne les instructions pour la zone difficile à circonscrire.

(Voir avec quels exemples l’élixir de jeunesse indénie la substance comme matière inhabitée).

 

Tout donne à penser d’un paysage ou d’un être les débordements les réflexes et les irrigations du nerf et des nâdis teintant le cristal d’automnes somnambules.

Des teintes plaintives devant la logique démente de l’invasion renversée l’homme imite le second cas d’une embryologie déposant en travers le marbre déserté.

Pierre de la collaboration active avec le sorcier universellement rependu dans l’idée d’un monde qu’accompagne le récit d’une fusion par évidence.

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