Jean Carteret est un être de lumière dont la présence et la puissance rendent lisibles et compréhensibles les « tenants » et les « aboutissants » du chaos de notre société. Libéré vivant à partir de 1970 à la suite d’une Odyssée intérieure qui déboucha sur la rencontre de l’expérience de la pseudo-mort, et ayant ainsi définitivement accédé à la faculté de voyance épistémologique, il n’eut de cesse — jusqu’à la fin de ses jours sur Terre, advenue en 1980 de cette chronologie — d’essayer de déclencher chez autrui ce même saut qualitatif qu’il nommait « la paix », et qui concerne le plan métaphysique, en dialectique avec son inébranlable foi en l’avènement du futur socialisme autogestionnaire mondial, seul capable, à ses yeux, de lancer la dynamique propre à ouvrir sur la justice sociale et sur la transcendance pour l’ensemble de l’humanité.

          Astrologue ayant découvert deux planètes du système solaire (Proserpine qui est la transcendance de Vénus et Vulcain qui est la transcendance de Mercure), mystique sans appareil ecclésiastique de quelque Église que ce soit, gnostique sans affiliation à aucun mouvement gnostique que ce soit, anti-traditionaliste, anti-élitiste, en relation avec la Déité Absolue « qui n’est pas Dieu », poète de la vie plénière et du voyage dans toutes les acceptions de ce mot (« la mort... J’en suis curieux comme d’un voyage ! »), « compositeur en astrologie », musicien violoniste et pianiste, philosophe réalisé, Jean — essentiellement/existentiellement inspiré par la connaissance et par l’amour qu’il plaçait au-dessus de celle-ci — eut pour maître l’intuition directe, et le désir de situer l’ésotérisme à sa place, c’est-à-dire en passage à l’éxotérisme au cœur du socialisme réel à venir. Issu d’un vécu intime en relation avec cette inéluctable mutation de l’histoire, le message de Jean — conscience vivante éprise de justice sociale et de justesse sociale — est, à ce jour encore, marginalisé...

Le 1er Septembre 1988 de cette chronologie.

Pierre-André Dujat, membre du Réseau 666 et transcripteur de l’œuvre de Jean Carteret,

est sorti de ce non-monde fin octobre 2010.

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